À la rencontre de nos organisateurs #5 - Cashless et camp de survivants
Vous êtes sortis de la première édition d’Électrolapse : quels sont vos retours en interne ?
Nous sommes très contents de notre première édition. Nous avons des retours, que ce soit de la part de nos artistes, de nos prestataires ou de nos artistes qui sont au delà de nos espérances. L’événement s’est plus que bien passé.
Concernant l’accueil artistes, qui était très important pour nous afin de créer une relation durable, les retours sont effectivement dingues, selon ce que l’on nous a dit, digne des plus grands festivals.
De notre côté, nous sommes quatorze à organiser Électrolapse. On se connaît tous, nous sommes tous des amis. Même si chacun avait ses responsabilités, tout le monde s’est mutuellement prêté main forte.
Quel était l’objectif en choisissant d’opter pour une solution cashless ?
Déjà, la situation COVID nous a fait prendre cette décision, afin d’éviter l’échange de tokens, entre autres. Cela permet d’avoir une carte dématérialisée. Nous n’avions pas nécessairement prévu cette solution en 2020, lorsque le festival a été reporté. On a pourtant vu les apports pour l’organisation et pour le festivalier, je pense en terme de temps et de facilité pour tout le monde.
Nous sommes partis sur du cashless pour gagner en temps et en souplesse. De plus, avec tous les food trucks que nous avions, en plus de nos deux bars, le fait d’avoir une solution cashless a limité le nombre de points d’échange à un, ce qui a permis beaucoup plus de sécurité, laquelle n’aurait pas été possible sans cette solution.
Qu’est-ce que vous avez pensé du cashless mis en place cette année ?
Nous avons surtout eu des retours de la part des bénévoles, qui ont apprécié la fluidité et le gain de temps lors de l’achat des consommations. Nous avons comparé plusieurs solutions et avons fait un premier tri par rapport à notre budget.
Nous avons échangé avec toutes les entreprises que nous avons retenues. Nous avons échangé avec les conseillers Billetweb, et il y a eu un bon feeling. La solution proposée était adaptée à nos besoins et complètement modulable.
Pour notre première édition, la solution s’est adaptée à notre échelle et nous avons tout pu personnaliser, que ce soit le nombre de TPE, ou encore la formation des intervenants. Je pense que le gros point positif qui nous a fait opter pour Billetweb, c’est le fait qu’il y ait un intervenant sur place le jour J en accompagnement.
En cette fin de mois d’août, on sent comme un goût de « vie d’avant », grâce aux événements assez similaires à ce qui se faisait avant la pandémie. Était-ce une volonté de votre part ?
Retrouver la vie d’avant, pas vraiment. Avec Électrolapse, nous misons à fond sur le thème, le décor et l’immersion des festivaliers. Malheureusement, notre thème a été conçu avant la pandémie.
Notre thématique est basée sur un camp de survivants. Les gens se sont retrouvés dans l’idée de devoir éviter un virus, même si la chose ne devait pas avoir de rapport avec la pandémie.
Concernant l’actualité, notamment celle du Pass Sanitaire, nous avons dimensionné les entrées pour que ce soit fluide. L’organisation était top et les festivaliers arrivaient rapidement sur le festival. Nous avons retrouvé plus que le monde d’avant. Nous avons découvert un nouveau monde.
Je pense que de notre côté, c’est une réussite, même si c’est quelque chose que nous souhaitons développer encore plus dès l’année prochaine. À chaque édition, nous allons essayer de plonger le festivalier dans une nouvelle expérience immersive et complète. On vous donne rendez-vous en 2022 pour une édition encore plus folle ! Nous avons déjà hâte d’y être !